Peut-être que… ça nous convient d’avoir mal ?

Quand il y a un trop plein, le système nerveux n’arrive plus à se contenir, alors quelque chose ‘pète’, ça lâche. Comme un orgasme. Le processus de relâcher une tension amène une certaine jouissance.

Quel serait l’avantage alors d’être tendu, d’avoir de la douleur ? Peut-être que ça nous convient…? Est-ce que le mouvement constant d’aller de la friction au relâchement serait en fait un moyen provoqué (et intelligent !) pour vider le trop plein ?

Extrait de la conférence Démystifier L'Hypersensibilité avec Patrick Salibi D.O. N.D. - 11 août 2018